• Les autres biographies
  • Biographie
  • Bibliographie
  • Citations
  • Contemporains


  • Biographie de Nicolas Beuglet



    Nicolas Beuglet

    Nicolas Beuglet

    Nicolas Beuglet, né en 1974, est un écrivain et journaliste français. Il est connu pour sa trilogie de romans policiers ayant pour héroïne l'inspectrice norvégienne Sarah Geringën, dont les deux premiers volets ont été vendus à plus de 540 000 exemplaires.
    Nicolas Beuglet commence sa carrière comme journaliste au Figaro Étudiant et présente des flashs info sur Europe 2. Il travaille ensuite pendant une quinzaine d'années sur M6, d'abord comme présentateur des émissions 80 à l'heure et Génération Hit2, puis comme rédacteur en chef et producteur. Il publie son premier roman Le Premier Crâne en 2011 sous le pseudonyme de Nicolas Sker.
    Sorti en 2016, Le Cri, premier roman de la série Sarah Geringën, reçoit le prix Nouvelles Voix du Polar. Le deuxième volet Complot paraît en 2018.
    Après avoir écrit des scénarios pour la télévision, Nicolas Beuglet a choisi de se consacrer pleinement à l’écriture de romans. Salué par la presse, il est devenu en quelques années l’une des plus grandes plumes du thriller français. Il est l’auteur chez XO Editions du Cri, Complot, L’Île du Diable, Le Dernier Message et Le Passager sans visage.
    En 2020, il vit à Boulogne-Billancourt depuis une dizaine d'années.



    Crédit Photo
    Par Librairie Mollat - Nicolas Beuglet - Le passager sans visage • 7 sept. 2021 • A l'occasion du Quai du Polar 2021, Nicolas Beuglet vous présente son ouvrage Le passager sans visage aux éditions XO. Parution le 16/09/2021- Capture Vidéo 0.33 Lien

    Mise à jour le mardi 18 novembre 2025 à 17h34

    « Interview de Nicolas Beuglet »



    « Une phrase du psychiatre Jung, celui qui a révélé l'impact de l'inconscient collectif, m'a aidé : « Nous ne sommes pas nés d'hier ou d'aujourd'hui. Nous sommes tous d'un âge immense. » J'ai vécu une révélation, j'ai commencé à l'explorer sans trop savoir où j'allais, une sorte de quête vertigineuse qui m'a amené jusqu'au Cri. J'avais le sujet, mais je crevais de peur de m'y confronter. La « préparation » a duré trois ans. »
    Le Point 08/11/2019


    « Il faut que je tombe amoureux de la fin de mon histoire. Ce n'est qu'ensuite que je peux raconter tout le reste. Je déteste les livres qui posent une grande question pleine de mystère et qui se terminent par « la réponse est en vous ». Et une fois que ce socle est forgé, je travaille le désir d'écrire. Je n'écris pas une ligne tant que je n'ai pas l'envie irrésistible de la faire partager aux lecteurs. Bref, de l'amour et du travail. »
    Le Point 08/11/2019


    « L’écriture est comme une partie d’échec avec moi-même. J’échange régulièrement ma place d’auteur avec ma place de lecteur. Si j’ai envie de relire ce que je viens d’écrire, c’est que c’est bon. Si je ressens la moindre lassitude, j’arrête et je laisse venir l’inspiration jusqu’à ce que l’excitation de la narration me reprenne. Je n’écris jamais une ligne tant que le désir de l’écrire n’est pas là. C’est peut-être cela qui transpire dans la narration : ma propre envie de désirer mon histoire. »
    Carobookine 7 septembre 2016


    « Techniquement : dans l’écriture d’un roman rien n’existe sans vous. RIEN. Vous avez donc l’obligation de tout savoir, tout connaître de votre personnage jusqu’aux moindres détails de son enfance, de ses défauts, ses tics… Et même si vous ne révélez pas le quart de ce que vous savez sur lui, cela guide et rend cohérent chacune de ses actions dans votre écriture. Cela lui donne de la profondeur entre les lignes, une existence palpable qui vous permet d’y croire vous et bien évidemment le lecteur. Au final, le sentiment d’accomplissement est bien plus puissant dans l’écriture de romans que dans le scénario. Dans un scénario : les acteurs, la musique, la mise en scène peuvent soutenir votre narration. Et puis pour être très trivial, dans l’écriture scénaristique, on a toujours un œil sur le budget de chaque scène. Dans un roman, tout est «gratuit», la liberté est totale. »
    Carobookine 7 septembre 2016


    « Côté littérature, je lis Zola, Dostoïevski mais aussi Steinbeck dont le souffle romanesque m’a transmis le goût de l’écriture. A l’est d’Eden m’a glacé de peur et les derniers mots que le père souffle à son fils avant de mourir me bouleversent encore. Mobilisant ses ultimes forces, il lui dit : «Timshel». En hébreux, cela signifie «Tu peux» : tu peux dépasser le mal qu’il y a en toi pour devenir quelqu’un de bien ! »
    Carobookine 7 septembre 2016


    Sources : Nicolas Beuglet, le roi du « thriller » français livre ses secrets Par Brigitte Hernandez, Le Point 08/11/2019 : Sa trilogie caracole en tête de ventes. À la Foire du livre de Brive, l'auteur signe sa dernière aventure, « L'Île du diable ». Rencontre avec un phénomène.

    Carobookine 7 septembre 2016 - Interview glaçante de Nicolas Beuglet



    Le Passager sans visage« Tu n'es pas seule à chercher »...Ce mot anonyme laissé sur son paillasson est plus qu'un appel : un électrochoc. Cette fois, l'inspectrice Grace Campbell le sait, elle n'a pas le choix. Elle doit ouvrir la porte blindée du cabinet situé au fond de son appartement. Et accepter de se confronter au secret qui la hante depuis tant d'années... Des confins de la campagne écossaise aux profondeurs de la Forêt-noire où prend vie le conte le plus glaçant de notre enfance, jamais Grace n'aurait pu imaginer monter dans ce train surgi de nulle part et affronter le Passager sans visage...
    Avec ce thriller au suspense angoissant, Nicolas Beuglet nous plonge dans les perversions les plus terribles de nos sociétés. Et, au passage, nous interroge : et si parmi les puissants qui régissent le monde se cachaient aussi des monstres sans visage ? Un train, un passager sans visage, une organisation terrifiante


    " Nicolas Beuglet, le nouveau phénomène du polar français. " Sandrine Bajos, Le Parisien - Après le succès du Dernier Message, Nicolas Beuglet revient avec une nouvelle enquête de Grace Campbell.

    En quatre ans à peine, Nicolas Beuglet est devenu la nouvelle sensation du thriller en vendant plus de 800.000 exemplaires de sa trilogie consacrée à l’inspectrice norvégienne Sarah Geringen. « Notre cerveau est fait pour écouter et raconter des histoires ». Il lui fait aujourd’hui une infidélité avec Grace Campbell, l’héroïne de son nouveau roman, Le Dernier Message et Le passager sans visage