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  • Biographie de Raymond Devos



    Raymond Devos

    Raymond DevosNé le : 09/11/1922
    Décédé le : 15/06/2006

    Artiste de variétés, auteur et comédien français (1922-2006) qui mêle numéros de clown, gags et calembours, le tout aboutissant à une forme suprême de comique de l'absurde.

    Raymond Devos né le 9 novembre 1922 à Mouscron en Belgique et mort le 15 juin 2006 à Saint-Rémy-lès-Chevreuse dans les Yvelines, est un humoriste franco-belge.

    Il est resté célèbre pour ses jeux de mots, ses qualités de mime, son goût pour les paradoxes cocasses, le non-sens et la dérision.



    Crédit Photo
    Par Philippe Roos from Strasbourg — Strasbourg-1980-05-11, CC BY-SA 2.0, Lien

    Centenaire de la naissance de Raymond Devos


    Centenaire de l’immense Raymond Devos, le maître des mots ! Raymond Devos aurait eu 100 ans ce 9 novembre 2022. Ce mercredi 9 novembre 20200 est la date du centenaire de la naissance de l’illustre comique, disparu en 2006. En hommage à l’humoriste roi, des livres, des disques et DVD sortent actuellement et des événements culturels sont programmés.


    Les plus belles citations de Ryamond Devos


  • « je suis né avec un pied en Belgique et un pied en France, c’est pour cela que je marche les pieds écartés… » avait coutume de répéter Raymond Devos, qui fait l’objet, à partir de ce mercredi, et jusqu’au 23 juin 2023, d’une pluie d’événements et d’hommages organisés à l‘occasion de cet anniversaire.

  • « Je demande à l’employé : - Pour Caen, quelle heure ? - Pour où ? - Pour Caen ! - Comment voulez-vous que je vous dise quand, si je ne sais pas où ? - Comment ? Vous ne savez pas où est Caen ? - Si vous ne me le dites pas ! - Mais je vous ai dit Caen !- Oui… Mais vous ne m’avez pas dit où ! »
  • En résumé, je crois qu'on a toujours tort d'essayer d'avoir raison devant des gens qui ont toutes les bonnes raisons de croire qu'ils n'ont pas tort.
  • “Je n’aime pas être chez moi. A tel point que lorsque je vais chez quelqu’un et qu’il me dit : “Vous êtes ici chez vous”, je rentre chez moi !”
  • « moi, lorsque je n´ai rien à dire, je veux qu´on le sache! Je veux en faire profiter les autres! Et si, vous-mêmes, vous n´avez rien à dire, eh bien, on en parle, on en discute! »
  • li>« A force de vouloir faire la lumière sur tout, on ne distingue plus rien.»

  • « Une rengaine,c’est un air qui commence par vous entrer par une oreille et qui finit par vous sortir par les yeux »
  • « J'ai un ami qui est xénophobe. Il déteste à tel point les étrangers que lorsqu'il va dans leur pays, il ne peut pas se supporter.»
  • “Si l'on peut trouver moins que rien, c'est que rien vaut déjà quelque chose.” .
  • « Un maître, c'est quelqu'un qui a passé sa vie à aimer quelque chose qui mérite de l'être. »
  • « Toute la nuit, j'ai cru entendre le chromosome en plus qui tournait en rond dans ma case en moins. »
  • - On dit que le ridicule tue. Est-ce vrai ? - Pas du tout ! Regardez autour de vous, il n'y'a que des gens bien portants.
  • Le jeu de l’esprit ne m’intéresse que lorsqu’il est au service du malentendu. C’est pour ça que ça m’agace quand on me parle seulement de mes jeux de mots. Je me sers d’eux, bien sûr, mais si on ne décelait pas ce qu’il y a derrière, je serais peiné.
  • Raymond Devos en 1993 dans “Télérama” : “Quand je stresse, je dis mes textes tout seul. En allemand”


  • Mise à jour le mercredi 24 septembre 2025 à 14h07


    Raymond DevosFrançois Morel est l'un des disciples de Raymond Devos. Comme son ainé, l'artiste, qui restera pour beaucoup l'une des figures de la famille télévisuelle des Deschiens, joue aussi avec les mots. Son admiration pour Devos est sans bornes : "Comme les arcs-en-ciel de feu circulaire, comme les colonnes de lumière, comme les vents d’incendie, comme les nuages lenticulaires, il a surgi, miraculeux et mystérieux, derrière un rideau rouge qui s’ouvrait sur l’imaginaire. On n’avait jamais vu ça ! Et, devant cet homme en apesanteur, on avait le souffle coupé. »

    Dans son spectacle, J'ai des doutes, François Morel interprète sur scène quelques-uns des sketches les plus fameux du génial clown. Une façon élégante de rendre hommage à "un miracle qui est apparu, singulier, sur la scène du music-hall français. Il ne ressemblait à personne. Personne, plus jamais, ne lui ressemblera. C’est comme ça. Il faut se faire une raison. Même si on n’est pas obligé… de se faire une raison. Il est plus opportun, en évoquant Devos de se faire une folie. Un grain de folie capable d’enrayer la mécanique bien huilée de la logique, de la réalité, du quotidien."