Citations les plus présentes dans les carnets de citations (Page 27 sur un total de 300 pages)

Chez nous, dans ma famille, les armes sont les livres, les combats sont les mots, la révolution c'est les mots !

Vous parlez quand vous cessez d'être en paix avec vos pensées.

Celui qui trouve sans chercher est celui qui a longtemps cherché sans trouver.

La vieillesse est comparable à l'ascension d'une montagne. Plus vous montez, plus vous êtes fatigué et hors d'haleine, mais combien votre vision s'est élargie!

A la faculté de médecine et de pharmacie, il est communément admis que les comprimés ne sont pas systématiquement des imbéciles diplômés.

(L'honneur) est la dernière richesse du pauvre.

D'une joie même, le souvenir a son amertume, et le rappel d'un plaisir n'est jamais sans douleur.

Lorsque tu vins au monde, tout le monde était content et tu pleurais. - Vis de telle sorte que lorsque tu mourras, tous pleureront et tu seras heureux.

50 kilos de patates, un sac de sciure de bois, il te sortait 25 litres de 3 étoiles à l'alambic. Un vrai magicien ce Jo. Et c'est pour ça que je me permets d'intimer l'ordre à certains salisseurs de mémoires de bien vouloir fermer leur claque-merde!

Le doute sur l'amour finit par faire douter de tout.

Celui qui excelle ne discute pas, - Il maîtrise sa science et se tait.

Est-ce que vous savez ce qui rentre sec et dure et qui ressort mou et mouillé? - Un chewing-gum! - Faut pas toujours avoir l'esprit mal placé!

Chose paradoxale: c'est avec les gens intelligents qu'on déconne le mieux.

Lorsque je me tins devant toi, tel un miroir limpide, tes yeux plongèrent dans les miens et contemplèrent ton image. - Alors tu me dis: «Je t'aime.» - Mais en vérité, tu t'aimais en moi.

C'est la maladie qui rend la santé agréable; le mal qui engendre le bien; c'est la faim qui fait désirer la satiété, et la fatigue le repos.

La démocratie est le pire des régimes politiques... si on fait abstraction de tous les autres.

Si je buvais moins, je serai un autre homme. Et j'y tiens pas.

La musique souvent me prend comme une mer.

J'écrivais des silences, des nuits, je notais l'inexprimable. Je fixais des vertiges.

Un beau soir l'avenir s'appelle le passé. - C'est alors qu'on se tourne et qu'on voit sa jeunesse.

C'est la marque d'un esprit cultivé qu'être capable de nourrir une pensée sans la cautionner pour autant.

A qui sait attendre, le temps ouvre ses portes.

La dernière fois que j'ai pénétré une femme, c'était en visitant la statue de la Liberté.

On commence à vieillir quand on finit d'apprendre.

Nos larmes les plus sacrées ne recherchent jamais nos yeux.