Citation Ce n est que lorsque
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190 citations
Les affaires du pays, ce sont les affaires du pauvre, car lorsque les affaires du pays languissent, le pauvre est le premier qui en souffre. Le riche est au pauvre ce que la goutte d'eau est au verre qu'elle fait déborder : avant que le verre déborde, il faut qu'il soit plein.
Un prince bien avisé ne doit point accomplir sa promesse lorsque cet accomplissement lui serait nuisible et que les raisons qui l'ont déterminé à promettre n'existent plus : tel est le précepte à donner.
J'étais encore dans le salon voisin à attendre sa délivrance, lorsque ma belle-mère vint me dire: venez embrasser votre femme et la sauver du désespoir; votre enfant est mort en naissant.
C'est lorsque la religion atteint son apogée, sa plus haute puissance, qu'elle fait commettre le plus de crimes.
Maison tranquille (1872) de Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.C'est lorsque les coupables ont commencé à se sentir victimes innocentes que l'époque du stalinisme a pris fin.
Le pardon n'est pas une baguette magique. Il y a le pardon du vouloir et celui du pouvoir : on veut pardonner mais on ne peut pas. Quand on peut, lorsque enfin la tête et le coeur finissent par être d'accord, il reste le souvenir, ces choses douloureuses qui remontent à la surface, qui troublent et raniment la haine. C'est le pardon de la mémoire. Ce n'est pas le plus facile. Il exige beaucoup de temps.
Pour le philosophe et le poète, toute lecture devient insipide lorsque, par un beau jour de printemps ou d'automne, il a sous les yeux le sublime spectacle de la nature... C'est alors qu'il se rappelle ce mot de Bossuet : Dieu seul est grand.
Il faut du moins être clair lorsque l'on n'est pas lumineux et c'est ce qu'étoient tous les Grecs.
Mais l'historien n'a rien d'un homme libre. Du passé, il sait seulement ce que ce passé même veut bien lui confier. En outre, lorsque la matière qu'il s'efforce d'embrasser est trop vaste pour lui permettre le dépouillement personnel de tous les témoignages, il se sent incessamment limité, dans son enquête, par l'état des recherches.
Lorsque vous revendiquez ce qui vous appartient, quiconque vous dénie le droit d'en jouir est un criminel. Comprenez-moi bien. Lorsque vous réclamez ce qui est à vous, vous êtes légalement en droit d'en revendiquer la possession. Quiconque tente, de quelque façon que ce soit, de vous dépouiller de ce qui vous appartient, enfreint la loi et commet par conséquent un délit.
Qui considère les choses d'un point plus élevé, se singularise plus grandement; se tourner vers le grand livre de la nature, qui est proprement l'objet de la philosophie, est le moyen d'élever son regard; bien que tout ce qui se lit dans ce livre soit le mieux proportionné, en tant que fruit du souverain artisan, c'est lorsque se découvre à nos yeux le travail et l'artifice que la lecture en est plus claire et plus digne.
Tout ce que nous craignons, c'est de perdre ce que nous possédons, qu'il s'agisse de notre vie ou de nos cultures. Mais cette crainte cesse lorsque nous comprenons que notre histoire et l'histoire du monde ont été écrites par la même main.
Lorsque l'énoncé d'un problème est exactement connu, le problème est résolu; ou bien c'est qu'il est impossible. La solution n'est donc autre chose que le problème bien éclairé.
Mais en mourant vous brillerez avec éclat, ardents de la force du dieu qui vous a amenés jusqu'à cette terre et qui pour quelque dessein particulier vous a fait dominer cette terre et l'homme rouge. Cette destinée est un mystère pour nous, car nous ne comprenons pas lorsque les bisons sont tous massacrés, les chevaux sauvages domptés, les coins secrets de la forêt chargés du fumet de beaucoup d'hommes, et la vue des collines en pleines fleurs ternie par des fils qui parlent.
Le bonheur est une chose terrible à supporter. Surtout lorsque ce bonheur n'est pas celui pourquoi on avait arrangé toute sa vie.
Changer de lieu, c'est changer en même temps les perspectives de notre âme. Certains souvenirs tristes qui étaient au premier plan reculent dans le lointain de la mémoire, et, lorsque plus tard ils reprennent leur place accoutumée, c'est avec des contours moins arrêtés et des teintes adoucies.
... lorsque deux êtres normaux sont en désaccord, et que ce désaccord semble s'éterniser, il arrive un moment où l'un des deux finit par se demander si l'autre n'est pas fou.
Phèdre : Oui, prince, je languis, je brûle pour Thésée :
Je l’aime, non point tel que l’ont vu les enfers,
Volage adorateur de mille objets divers,
Qui va du dieu des morts déshonorer la couche ;
Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche,
Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi,
Tel qu’on dépeint nos dieux, ou tel que je vous vois.
Il avait votre port, vos yeux, votre langage ;
Cette noble pudeur colorait son visage,
Lorsque de notre Crète il traversa les flots,
Digne sujet des vœux des filles de Minos.
Que faisiez-vous alors ? pourquoi, sans Hippolyte,
Des héros de la Grèce assembla-t-il l’élite ?
Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors
Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords ?
Par vous aurait péri le monstre de la Crète,
Malgré tous les détours de sa vaste retraite :
Pour en développer l’embarras incertain,
Ma sœur du fil fatal eût armé votre main.
Mais non : dans ce dessein je l’aurais devancée ;
L’amour m’en eût d’abord inspiré la pensée.
C’est moi, prince, c’est moi, dont l’utile secours
Vous eût du labyrinthe enseigné les détours.
Que de soins m’eût coûtés cette tête charmante !
Un fil n’eût point assez rassuré votre amante :
Compagne du péril qu’il vous fallait chercher,
Moi-même devant vous j’aurais voulu marcher ;
Et Phèdre au labyrinthe avec vous descendue
Se serait avec vous retrouvée ou perdue.
Pensées et maximes extraites des oeuvres de M. Émile de Girardin (1867) de Emile de Girardin
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Le Prince (1513), XVII de Nicolas Machiavel
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Mémoires de Jean-François Marmontel
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Emile Leclercq
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Le Héros de notre jeunesse (1984) de Alexandre Zinoviev
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Plus fort que la haine (1999) de Tim Guénard
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Pensées, maximes, réflexions, observations (1855) de Goswin Joseph Augustin, baron de Stassart
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Carnets tome 1, 23 octobre 1797 de Joseph Joubert
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La société féodale de Marc Bloch
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« The Ballot or the Bullet » (« Le bulletin de vote ou le fusil ») discours prononcé le 3 avril 1964 à Cleveland. de Malcolm X
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Dialogue sur les deux plus grands systèmes du monde (1624) de Galilée
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L'Alchimiste (1988) de Paulo Coelho
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Propos de littérature (1934) de Emile-Auguste Chartier, dit Alain
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Discours prononcé en 1854 par Seattle (v. 1786-1866), chef des tribus Duwamish et Suquamish, devant le gouverneur Isaac Stevens de Chef Seattle
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Correspondance avec Jacques Rivière (1914), 22 juillet 1913. de Alain-Fournier
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Pensées d'une solitaire (1903) de Louise Ackermann
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Une folie de Sacha Guitry
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Phèdre (1677), II, 5 de Jean Racine
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