Citation au moins un
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Une Sélection de 380 citations et proverbes sur le thème au moins un.
380 citations
Vous êtes moins un homme qu'un élément dans lequel ma vie baigne comme on baigne dans de l'air ou de l'eau.
Dans chaque famille, il y a au moins un cochon... Je veux dire à 4 pattes!
C'est pas en attirant l'attention sur les non vaccinés qu'on va me faire oublier que ceux que j'ai vraiment envie d'emmerder, c'est tous les médecins qui au lieu d'être dans les hôpitaux, sont sur les plateaux depuis deux ans à nous raconter conneries sur conneries. Ce qui continue à m'emmerder, c'est pas le vaccin, c'est cette hystérie collective que c'est tout juste si on va pas devoir se balader avec deux coton-tiges dans le pif 24h sur 24 pour un variant dont on nous dit en plus qu'il est moins dangereux que les autres. Qu'est-ce que ce serait si il était plus dangereux ?
Je suis de tradition grecque, comme tous les philosophes ; mais on oublie trop souvent qu'il y a au moins deux traditions, celle de Platon et celle d'Aristote. J'ai longtemps été, en raison de mon intérêt pour les mathématiques, pleinement platonicien. Il m'a fallu un certain âge pour « découvrir » la pensée d'Aristote. Je suis maintenant devenu plutôt aristotélicien… Il suffit de lire les Allemands pour se rendre compte qu'ils sont eux-mêmes aristotéliciens, pour la bonne et simple raison qu'ils n'ont pas eu nos Lumières ni la Révolution française, qui a supprimé chez nous la tradition aristotélicienne pour ne garder que la tradition platonicienne. La tradition aristotélicienne étant associée au Moyen Âge, à la scolastique, au christianisme… D'une certaine manière, Heidegger, c'est du Aristote… Du Aristote traduit en Allemand.
Un livre peut être plein d'énormités et de bévues, et n'en être pas moins fort beau.
J'appris au moins ceci par mon expérience : que si l'on avance avec confiance dans la direction de ses rêves, si l'on s'efforce de vivre la vie que l'on a imaginée on trouvera un succès inattendue dans la vie ordinaire.
Ah! si nous revenions à l'antique coutume,
Les pauvres gens au coeur auraient moins d'amertume,
Et l'opulent foyer serait comme un saint lieu:
Car la place du pauvre est la place de Dieu!Les industriels et les hommes politiques font semblant de croire que les Américains sont un peuple de grimpeurs. Tout le monde doit aspirer au sommet, tout le monde doit monter, monter, monter, ce qui revient à monter sur les autres, à prendre appui sur eux et à les écraser, à escalader une montagne d'hommes et de femmes entassés pour planter son drapeau personnel à l'arrivée. Ça, c'est la pyramide hiérarchique, a dit Fausto. Et celui qui n'est pas un varappeur dans l'âme, celui-là est considéré comme un moins que rien, un raté, un parasite, même si, pour gravir cette foutue montagne, il faudrait déjà qu'il sorte du trou, et qu'il ne possède même pas d'échelle pour se tirer d'affaire.
J'ai beau avoir commencé ma carrière de cinéaste il y a plus d'un demi-siècle, je m'estime moins bon que ceux qui m'ont inspiré. Et mes successeurs sont pires encore. Fritz Lang, Luis Buñuel et Orson Welles ont ouvert la voie. Godard, Chabrol et moi sommes arrivés derrière. Qui saura prendre le relais ?
Vous lisez Minute ? Non ? Vous avez tort, c'est intéressant. Au lieu de vous emmerder à lire tout Sartre, vous achetez un exemplaire de Minute, pour moins de dix balles, vous avez à la fois La Nausée et Les Mains sales.
Nous vivons sur une île de placide ignorance, au sein des noirs océans de l'infini, et nous n'avons pas été destinés à de longs voyages. Les sciences, dont chacune tend dans une direction particulière, ne nous ont pas fait trop de mal jusqu'à présent ; mais un jour viendra où la synthèse de ces connaissances dissociées nous ouvrira des perspectives terrifiantes sur la réalité et la place effroyable que nous y occupons : alors cette révélation nous rendra fous, à moins que nous ne fuyions cette clarté funeste pour nous réfugier dans la paix et la sécurité d'un nouvel âge de ténèbres.
Pour être drôle, il faut au moins se trouver à soi-même un peu d'esprit.
Aux branches claires des tilleuls Meurt un maladif hallali. Mais des chansons spirituelles Voltigent parmi les groseilles. Que notre sang rie en nos veines, Voici s’enchevêtrer les vignes. Le ciel est joli comme un ange. L’azur et l’onde communient. Je sors. Si un rayon me blesse Je succomberai sur la mousse. Qu’on patiente et qu’on s’ennuie C’est trop simple. Fi de mes peines. je veux que l’été dramatique Me lie à son char de fortunes Que par toi beaucoup, ô Nature, – Ah moins seul et moins nul ! – je meure. Au lieu que les Bergers, c’est drôle, Meurent à peu près par le monde. Je veux bien que les saisons m’usent. A toi, Nature, je me rends ; Et ma faim et toute ma soif. Et, s’il te plaît, nourris, abreuve. Rien de rien ne m’illusionne ; C’est rire aux parents, qu’au soleil, Mais moi je ne veux rire à rien ; Et libre soit cette infortune.
J'en profite pour faire l'anti-publicité de mes deux romans. Si vous tombez dessus chez un bouquiniste, ne les achetez pas, ce n'est pas qu'ils soient mauvais mais ils sont pleins de minauderies, d'affèteries, alors que le devoir d'un écrivain est au contraire d'épurer, d'arriver à la plus grande simplicité possible. Comme disent les architectes : moins, c'est plus.
A mon âge, au contraire, l'amour est devenu une habitude d'infirme, c'est un pansement de l'âme, qui ne battant plus que d'une aile s'envole moins dans l'idéal. Le coeur n'a plus d'extase, mais des exigences égoïstes.
Avec le garçon, pas d'envahissement : sa nature ne le porte ni à la sentimentalité, ni à la jalousie, ni à la graphomanie, ni au besoin qu'on s'occupe de lui ; elle le porte au contraire à souhaiter qu'on le laisse tranquille, et à laisser tranquilles les autres. Il y a dans le protectionnisme quelque chose de réservé et de dépouillé, mettons quelque chose de sec, qui est très classique : souviens-toi de la litote du Parc ; sans parler de la réserve que nous impose la société. Avec les femmes — du moins si j'en crois les livres, car mon expérience d'elles est nulle, — c'est le contraire ; il faut toujours en dire et en faire plus qu'on ne sent : débordement et étalage, auxquels s'ajoute l'étalage de la publicité extravagante donnée à cet amour. Tout cela est romantique. L'amour des femmes, c'est l'amour tumultueux ; l'amour des garçons, c'est l'amour paisible, qui vous laisse l'esprit libre. De là le vers de Properce : « A mon ennemi je souhaite une femme. A mon ami un jeune garçon.»
Phase un : la séduction de la belle-famille, systématiquement accompagnée de remises en question personnelles très fortes. Un peu comme un chiot au chenil qui veut être choisi et fait la moue la plus attendrissante possible. Mais intérieurement, il tremble. Il vient avec son passé, sa gueule cassée et il est plein d'espérances quant à sa nouvelle famille d'accueil. Mais il n'a qu'une peur : décevoir et être abandonné à nouveau. Phase deux : l'intégration, pure et simple, des règles de la famille. On fait des efforts pour rentrer dans le moule, on prend sur soi, on marche au pas. Phase trois : ma préférée, la rébellion ! Ça passe ou ça casse, mais au moins on est fixé. Notre vraie nature ressurgit enfin. On ne peut plus faire semblant.
Prétendre réunir l'eau et le feu, c'est vouloir au moins la perte de l'un des deux.
La solitude est un cadeau royal que nous repoussons parce qu'en cet état nous nous découvrons infiniment libre et que la liberté est ce à quoi nous sommes le moins prêts.
Je ne sais pas grand-chose, mais j'ai au moins compris un truc sur cette terre. Le vrai miracle, ce n'est pas la vie. Elle est partout, grouillante. Le vrai miracle, Julie, c'est l'amour.
Si je parle fort et que tout à coup je marque un silence... Je suscite immédiatement l'attention. J'ai compris cela il y a au moins trente ans: je peux parler de la même manière avec mon violon, et ainsi contrôler le public.
À l’aube de ma vie, vierge de toute expérience, je me prénomme V., et du haut de mes cinq ans, j’attends l’amour. Les pères sont pour leurs filles des remparts. Le mien n’est qu’un courant d’air. Plus que d’une présence physique, je me souviens d’une senteur de vétiver qui embaume la salle de bains au petit matin, d’objets masculins posés çà et là, une cravate, un bracelet-montre, une chemise, un briquet Dupont, d’une façon de tenir sa cigarette entre l’index et le majeur, assez loin du filtre, d’une manière toujours ironique de parler, si bien que je ne sais jamais s’il plaisante ou non. Il part tôt et rentre tard. C’est un homme occupé. Très élégant, aussi. Ses activités professionnelles varient trop vite pour que je parvienne à en saisir la nature. À l’école, lorsqu’on m’interroge sur sa profession, je suis bien incapable de la nommer, mais de toute évidence, puisque le monde extérieur l’attire davantage que la vie domestique, il est quelqu’un d’important. Du moins, c’est ce que j’imagine. Ses costumes sont toujours impeccables.
Tu as quelque chose de provocant en toi qui fait que, te voyant seule, un homme assurément craindrait de te froisser en ne te faisant pas au moins de l'oeil.
Le besoin de lire étant une traînée de poudre, une fois allumé il ne s’arrêtera plus, et, ceci combiné avec la simplification du travail matériel par les machines et l’augmentation du loisir de l’homme, le corps moins fatigué laissant l’intelligence plus libre, de vastes appétits de pensée s’éveilleront dans tous les cerveaux ; l’insatiable soif de connaître et de méditer deviendra de plus en plus la préoccupation humaine ; les lieux bas seront désertés pour les lieux hauts, ascension naturelle de toute intelligence grandissante ; on quittera Faublas et on lira l’Orestie ; là on goûtera au grand, et, une fois qu’on y aura goûté, on ne s’en rassasiera plus ; on dévorera le beau, parce que la délicatesse des esprits augmente en proportion de leur force ; et un jour viendra où, le plein de la civilisation se faisant, ces sommets presque déserts pendant des siècles, et hantés seulement par l’élite, Lucrèce, Dante, Shakespeare, seront couverts d’âmes venant chercher leur nourriture sur les cimes.
Ce qui me frappe d'abord, c'est mon absence de culpabilité. Toute ma vie, j'aurai plus ou moins essayé d'apprendre, comme on m'y invitait, à me sentir coupable... Je n'y arrive pas, je l'avoue... Je me sens innocent... Ou pire : pardonné, racheté, sauvé... C'est étrange. Aucun sens moral ? Au contraire... Mais uniquement intellectuel, dirait-on. Je n'arrive pas à sentir la faute qu'il y aurait à satisfaire ses passions...
Les Jeunes Filles (1936) de Henry de Montherlant
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L'Eau des collines II (1963), Manon des sources de Marcel Pagnol
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Lors de l'émission On est en direct, le 08 janvier 2022 de Laurent Ruquier
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Une intensité de lumière, entretien avec Michel Serres , Cahier Simone Weil, Cahier dirigé par Emmanuel Gabellieri et François l'Yvonnet, éd. Éditions de l'Herne, 2014 de Michel Serres
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Correspondance, fin juillet-début août 1857 de Gustave Flaubert
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Walden ou la vie dans les bois (1854) de Henry David Thoreau
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Poésies du foyer et de l'école (1888), La place du pauvre de Eugène Manuel
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Farrago (2003) de Yann Apperry
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Je vais encore me faire des amis de Jean-Pierre Mocky (2015) de Jean-Pierre Mocky
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Textes de scènes (1988) de Pierre Desproges
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L'Appel de Cthulhu (1926) de Howard Phillips Lovecraft
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Quand souffle le vent du nord (2010) de Daniel Glattauer
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Derniers Vers (1872), Bannières de mai de Arthur Rimbaud
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Masterclass de Jean-Loup Dabadie, à l'occasion du Festival Lumière, En octobre 2016. de Jean-Loup Dabadie
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Fort comme la mort (1889) de Guy de Maupassant
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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En voiture, Simone ! de Aurélie Valognes
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Proverbe de Proverbes italiens
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L'Esprit de solitude (2001) de Jacqueline Kelen
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Demain j'arrête ! (2011) de Gilles Legardinier
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Interview L'Express, propos recueillis par Dominique Simonnet, publié le 21/12/2000 de Isaac Stern
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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Le Lion et la Poule de Sacha Guitry
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William Shakespeare (1864) de Victor Hugo
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Grand beau temps. Aphorismes et pensées de Philippe Sollers
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