Une citation de Vladimir Nabokov
proposée le vendredi 16 février 2007 à 21:45:30Vladimir Nabokov - Ses citations
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Mais dans mes souvenirs un détail se détache avec une parfaite netteté : sous chaque poème il y avait, en guise de signature, un petit cavalier noir de jeu d’échecs dessiné à l’encre.
La vraie vie de Sebastian Knight, Gallimard, Collection Folio n°1081, 1989, p.29. -
Vladimir Nabokov
La vie est un message griffonné dans le noir.
Feu pâle, Gallimard, Collection Folio n°2252, 1991, p.69. -
Vladimir Nabokov
Une série de mots de ce genre, parents pauvres des mots véritables. Et combien y en a-t-il de ces mots - sorte de petits déchets - qu’on prononce en toute hâte et qui comblent provisoirement le vide !
La défense Loujine, Gallimard, Collection Folio n°2217, 1991, p.97. -
Vladimir Nabokov
Béni soit mon premier amour, une enfant dans un verger - jeu de mains qui explorent, et ses cinq doigts écartés pleurant des perles de surprises.
Regarde, regarde les arlequins, Gallimard, Collection Folio n°2427, 1995, p.17. -
Vladimir Nabokov
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