Une citation de Diane Setterfield
proposée le jeudi 01 novembre 2018 à 19:00:01Diane Setterfield - Ses citations
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Quand on est rien, on invente. Pour combler le vide.
Le Treizième Conte -
Diane Setterfield
La surface de mon esprit était parfaitement calme. Mais sous la surface, une houle montait des profondeurs, un courant sous-marin qui agitait les eaux. Pendant des années, une épave avait reposé dans les grands fonds, un vaisseau rouillé chargé d'une cargaison d'ossements. Mais maintenant, il bougeait. Je l'avais dérangé, j'avais provoqué une turbulence qui faisait monter des nuages de sable du fond de la mer. Les grains tourbillonnaient follement dans l'eau sombre et troublée.
Le Treizième Conte -
Diane Setterfield
Je me suis épuisé à courir après la lune.
Le Treizième Conte -
Diane Setterfield
On lit sans ordre, sans raison. La lecture ne peut se commander. Personne ne peut en décider à votre place. Il en va de la lecture comme d'un amour ou du beau temps : personne ni vous n'y pouvez rien. On lit avec ce qu'on est. On lit ce qu'on est.
La part manquante -
Christian Bobin
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