Une citation de Carole Martinez
proposée le lundi 26 novembre 2018 à 08:30:01Carole Martinez - Ses citations
Citations similaires
Pendant longtemps, je fus clouée au pilori, - Et des femmes, voyant que je souffrais, ont ri. - La place était publique et tous étaient venus, - Et les femmes jetaient des rires ingénus. - Ils se lançaient des fruits avec des chansons folles, - Et le vent m’apportait le bruit de leurs paroles. - Les insultes cinglaient, comme des fouets d’ortie. - Lorsqu’ils m’ont détachée enfin, je suis partie.
Le Pilori, A l'heure -
Renée Vivien
Peut-être que j'ai déjà attiré votre attention là-dessus, mais je suis patient. Si j'ai dit à ce flic je vous emmerde, c'est que je le pensais, et où est le mal ? Moi je trouve que rien ne vaut la franchise.
Elles se rendent pas compte -
Boris Vian
Ne laisse pas trop tes enfants traîner. — Mais que crains-tu ? — Les ogres, je crains les ogres ! Mon cœur ne m'autorise pas à t'en dire davantage. On voit ses enfants grandir mais on ne les voit jamais vieillir. C'est ainsi.
Le cœur cousu -
Carole Martinez
Ma vie s’est jouée avant que je ne vienne au monde. N’est-ce finalement pas le cas de tout un chacun. Notre vie n’est le fruit d’un passé qu’on ne maîtrise absolument pas.
Le coeur cousu -
Carole Martinez
Contribuer