Une citation de Sofi Oksanen
proposée le dimanche 31 mars 2019 à 04:00:01Sofi Oksanen - Ses citations
Citations similaires
Dans la terre du désespoir poussent de mauvaises fleurs.
Purge, Sofi Oksanen (trad. Sébastien Cagnoli), éd. Stock, coll. La Cosmopolite, 2010, chap. Les corneilles de la vieille Kreel se taisent, p. 136 -
Sofi Oksanen
La société vole le temps. La seule chose que chacun possède pour en faire ce qu’il veut. La société s’en moque, elle n’a aucun respect pour les individus. Tout se passe comme si chacun sacrifiait dix ou quinze années de sa vie sur l’autel de l’économie. Sans parler des années de vieillesse, plus ou moins sordides. Il y a un vice quelque part. Regardez la télévision : c’est une calamité. Elle donne aux gens l’illusion de communier entre eux, d’avoir une vie de famille dans la mesure où ils sont quatre à regarder la même chose sur le même écran, au même moment. C’est absurde.
Un certain regard de Françoise Sagan -
Françoise Sagan
Aliide connaissait les types avec ce genre de maintien, qui savent comment on punit une femme et qui sont venus chercher une femme à punir. Le maintien de ce genre de type qui portent ce genre de bottes avec lesquelles on peut écraser n'importe quoi.
Purge -
Sofi Oksanen
Dans cette cave de la mairie où Aliide avait disparu et d'où elle voulait réchapper en vie, même si la seule chose qui était restée vive était le honte.
Purge -
Sofi Oksanen
Contribuer