Une citation de Anna Gavalda
proposée le mercredi 28 octobre 2020 à 10:00:01Anna Gavalda - Ses citations
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Ce que j’appelais moi, c’était quelque chose comme des boîtes imbriquées l’une dans l’autre, avec sans cesse quelque chose de nouveau dans ce moi ; peut-être arriverais-je un jour à découvrir mon moi véritable, mais ce n’était pas le vrai Métine, celui que je pourrais faire découvrir à Djeylanne, qui surgissait de la boîte, non, c’était une nouvelle boîte qui le cachait à sa vue.
La maison du silence -
Orhan Pamuk
Quand le souffle passait en sifflant au-dessus de ma tête, c'était le vent dans les grands arbres de la forêt, et non la pluie. Quand il rasait le sol, c'était le vent dans les buissons et les hautes herbes, mais ce n'était pas la pluie. Quand il bruissait et chuintait à hauteur d'homme, c'était le vent dans les champs de maïs. Il possédait si bien les sonorités de la pluie que l'on se faisait abuser sans cesse, cependant, on l'écoutait avec un plaisir certain, comme si un spectacle tant attendu apparaissait enfin sur la scène. Et ce n'était toujours pas la pluie. Mais lorsque la terre répondait à l'unisson d'un rugissement profond, luxuriant et croissant, lorsque le monde entier chantait autour de moi dans toutes les directions, au-dessus et au-dessous de moi, alors c'était bien la pluie. C'était comme de retrouver la mer après en avoir été longtemps privé, comme l'étreinte d'un amant.
La ferme africaine -
Karen Blixen
J'ai passé une excellente soirée. .. mais ça n'était pas celle-ci.
Citations drôles -
Groucho Marx
Au bout de combien de temps oublie-t-on l'odeur de celui qui vous a aimée ? Et quand cesse-t-on d'aimer à son tour ?
Je l’aimais -
Anna Gavalda
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