Une citation de Mariapia Veladiano
proposée le mercredi 20 octobre 2021 à 05:00:01Mariapia Veladiano - Ses citations
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Être en vie — tout à coup je suis frappé par l'étrangeté de cette expression, comme si elle ne s'appliquait à personne.
De l’inconvénient d’être né -
Emile Cioran
Je passai une rue puis une autre, grelottant, lorsque tout à coup je sentis — non, je ne la sentis point : elle me croisa, impétueuse : la Parole. Cette rencontre inattendue me paralysa un moment — assez pour lui donner le temps de retourner à la nuit. Remis, je réussis quand même à la saisir par sa chevelure flottante. Et je tirai désespérément ces fibres qui s'allongeaient à l'infini, fils télégraphiques qui s'éloignaient avec le paysage entrevu, note qui monte, s'amenuise, s'étire, s'étire. .. Et je me retrouvai seul au milieu de la rue, une plume rouge dans mes mains violacées.
Liberté sur parole (1958), Octavio Paz (trad. Jean-Clarence Lambert), éd. Gallimard, coll. Poésie, 1966 (ISBN 2-07-031789-7), partie II. AIGLE OU SOLEIL ? (1949-1950), Travaux du poète — III, p. 48 -
Octavio Paz
L'époque de l'école primaire ressemble dans mon souvenir à ses jouets posés sur des ressorts à spirales comprimées. Inoffensifs tant qu'ils sont enfermés dans leur boite en carton, mais qui vous frappent en plein visage quand on l'ouvre par inadvertance.
La vie à côté de Mariapia Veladiano -
Mariapia Veladiano
Oh ! et puis ça suffit ! On ne fait qu'un bref passage sur cette terre et on passe son temps à se mener une vie d'enfer avec ces histoires d'aspect et d'apparence.
La vie à côté -
Mariapia Veladiano
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