Une citation de Hegel
proposée le jeudi 15 avril 2010 à 13:27:10Hegel - Ses citations
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Quand irons-nous, par delà les grèves et les monts, saluer la naissance du travail nouveau, la sagesse nouvelle, la fuite des tyrans et des démons, la fin de la superstition, adorer - les premiers ! - Noël sur la terre !
Une saison en enfer, poésie/Gallimard, page 150 -
Arthur Rimbaud
« Je l'ignore, maîs en tout cas, moi, tout gamm, j'ai vite flaire que c'était la cle du pouvoir Pour emballer les filles, tout dabord i La seduction, c'est ce qui régit le monde Maîs aussi pour convaincre, vendre, rédiger une loi, un ordre d'incarcération Le pouvoir est entre les mains de ceux qui maîtrisent les mots Regardez les patrons de TFI, eux-mêmes font lire leurs enfants C'est dire i » Vous souvenez-vous
Réponse à la question Ecrit-on par atavisme ? Interview La nouvelle République 12 SEPTEMBRE 06Quotidien Prov. avec dim. -
Alexandre Jardin
Etablir une frontière, c'est toujours la franchir.
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Friedrich Hegel
La pire des solitudes est d’oublier le mystère qui entoure certains moments de nos vies, de le perdre à jamais. Écrire, c’est rendre vivant, pendant une fraction de seconde, en choisissant les mots les plus justes, ce qui meurt et ne reviendra pas : l’instantané d’une pensée ou d’une émotion. Les souvenirs, les sentiments finissent par s’évaporer et meurent. Écrire, c’est se donner le luxe inouï de rester en vie un peu plus longtemps que la vie elle-même en sédimentant dans l’encre ce qui s’évanouit, nos fulgurances. Écrire, c’est rester debout alors que tout s’écroule autour de soi.
« D’où vient Angéla Küber ? » - Page 149 - Edition Ravet Anceau - Avril 2009 -
Bruno Descamps
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