Une citation de Richard Bohringer
proposée le jeudi 21 décembre 2023 à 11:30:07Richard Bohringer - Ses citations
Citations similaires
Je sais que la poésie est indispensable, mais je ne sais pas à quoi.
Réception de M. Jean Cocteau M. Jean Cocteau, ayant été élu par l’Académie française à la place laissée vacante par la mort de M. Jérôme THARAUD, y est venu prendre séance le jeudi 20 octobre 1955, et a prononcé le discours -
Jean Cocteau
Pour me plaire, il faut être juif, arabe ou africain.
-
Richard Bohringer
Mourir est un travail. Comme naître le fut. Les sages-femmes emploient ce mot travail à propos de l'accouchement. Donner la vie. Recevoir la vie. Rendre la vie. Je ne sais pas à qui. Mai c'est sûr, la rendre à la terre, l'abandonner dans sa peau, renoncer au mouvement d'un corps vigoureux, concentrer tout son être dans l'esprit : tout ce que l'on éprouve de soi devient pensée. Oui, substituer de la pensée à du mouvement, de la puissance mentale à de la force physique. Et peut-être alors prendre son envol dans la bulle irisée de son propre esprit, éternel et universel, souverain et inaltérable.
les autres -
Alice Ferney
Un homme qui n'est pas désiré est un chien errant,solitaire.
Les nouveaux contes de la cité perdue -
Richard Bohringer
Contribuer