Une citation de Alexandre Jardin
proposée le mardi 29 juin 2010 à 15:22:49Alexandre Jardin - Ses citations
Citations similaires
« Je l'ignore, maîs en tout cas, moi, tout gamm, j'ai vite flaire que c'était la cle du pouvoir Pour emballer les filles, tout dabord i La seduction, c'est ce qui régit le monde Maîs aussi pour convaincre, vendre, rédiger une loi, un ordre d'incarcération Le pouvoir est entre les mains de ceux qui maîtrisent les mots Regardez les patrons de TFI, eux-mêmes font lire leurs enfants C'est dire i » Vous souvenez-vous
Réponse à la question Ecrit-on par atavisme ? Interview La nouvelle République 12 SEPTEMBRE 06Quotidien Prov. avec dim. -
Alexandre Jardin
Lisez vous-mêmes et, surtout, devant vos enfants ! S'ils vous voient pleurer ou vous poiler devant des mots, ils vont nécessairement s'interroger Et peu importe le support - un journal peut suffire - ils verront ainsi que vous avez la passion de l'écrit. S'ils ne vous voient jamais lire, comment voulez-vous les persuader du bonheur que procurent les mots ?
Réponse à la question Quel conseil donner aux parents soucieuxd'ouvrir leurs enfants a la litterature ? Interview La nouvelle République 12 SEPTEMBRE 06Quotidien Prov. avec dim. -
Alexandre Jardin
Parfois, il me semble que les femmes sont des tremplins vers le fabuleux. De la littérature guérisseuse qui fond dans un même souffle drame futile et comédie sérieuse. Ecrivaines pour la plupart non pratiquantes, elles produisent de la prose intérieure destinée à tromper leurs déceptions et à soigner leurs rêves.
Chaque femme est un roman, Grasset, 2008 -
Alexandre Jardin
Il aimait les histoires drôles, lisait des romans, menait une existence un peu étrange, - je crois qu'il était de ces hommes qui aiment la conversation et s'y sentent revivre, parce qu'elle les distrait d'eux-mêmes, les jetant dans l'imprévu de tout ce qui n'est pas eux, où ils redeviennent des hommes amusés de vivre, libres comme si rien n'était de leur préoccupation profonde.
Le Promontoire -
Henri Thomas
Contribuer