Une citation de Carlo Goldoni
proposée le mardi 18 janvier 2011 à 17:50:26Carlo Goldoni - Ses citations
Citations similaires
Dans ce siècle si épouvantable qu’est le XXe siècle, naturellement que le théâtre est sinistre, naturellement que la peinture est sinistre, naturellement que la littérature est sinistre. Comment voulez-vous qu’elle ne le soit pas avec tout ce que je vous ai dit. Cette Shoah, ces camps de concentration, ces assassinats, ces meurtres, ces otages, ce terrorisme, c’est effroyable ! Alors, il y avait une place à prendre que personne n’avait pris. C’était d’occuper le créneau inoccupé du bonheur.
Contact l'encyclopédie de la création - Emission canadienne par Stéphan Bureau -
Jean d'Ormesson
Apprendre à rester seul, pour vivre plus densément. Encore faut-il préciser qu'un vagabond romantique solitaire n'est jamais vraiment seul. Il a recours à une présence qui accompagnait les chemineaux au temps où les mutes d'Europe étaient couvertes de marcheurs : les fées. Celui qui a fait sien le mot de Novalis invitant à « être perpétuellement en état de poésie » saura reconnaître dans chaque expression de la nature la manifestation de leur existence. Il les traquera là où elles se cachent, c'est-à-dire partout, car le propre et le génie des fées est de prendre corps au moment où on le décide.
Petit traité de l’immensité du monde -
Sylvain Tesson
Aimer est un libre mouvement du coeur ; la servitude n'oblige qu'au respect.
Térence, Acte II, Scène 4 - -
Carlo Goldoni
Il est des amours de bien des sortes. Les enfants aiment leur père ; les amis, leurs amis ; les serviteurs, leurs maîtres ; et ce dernier amour est celui que je ressens pour toi ; mais il est chaste et pudique, et si tes désirs ne l'étaient pas, l'esclave, au milieu de ses fers, aurait droit de les repousser.
Térence, Acte II, Scène 4 - -
Carlo Goldoni
Contribuer