Une citation de Etienne Bonnot de Condillac
proposée le dimanche 23 janvier 2011 à 20:57:18Etienne Bonnot de Condillac - Ses citations
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Cette passion pour les langues mortes devait retarder les progrès du goût. Les langues n'ont d'élégance qu'autant qu'il y en a dans l'esprit de ceux qui les parlent. Les esprits étaient donc bien grossiers au quinzième siècle, puisque les langues étaient grossières.
Cours d'étude pour l'instruction du prince de Parme -
Etienne Bonnot de Condillac
Il y a longtemps que j'aurais pris la liberté de vous aimer, si vous aviez le loisir d'être aimée de moi : mais vous êtes occupée par je ne sais combien d'autres soupirants. J'ai jugé à propos de vous garder mon amour : il pourra arriver quelque teins plus favorable, où je le placerai.
De l'art d'écrire -
Etienne Bonnot de Condillac
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