Une citation de Hazrat Ali
proposée le jeudi 07 avril 2011 à 15:54:48Hazrat Ali - Ses citations
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Les différents stades de la douleur : en principe, c'est censé commencer par le déni. Faux, en fait, c'est même tout le contraire : une acceptation totale. On entend la mauvaise nouvelle, on comprend très exactement ce qu'on est en train de vous dire. On comprend qu'un être aimé - votre conjoint, votre parent, votre enfant - ne rentrera plus, qu'il a disparu définitivement, que sa vie est finie et que jamais, jamais vous ne le reverrez. Tout ça, vous le comprenez en un éclair. Vos jambes flageolent, votre cœur lâche. C'est le premier pas : pas seulement l'acceptation, pas seulement la compréhension, mais la vérité dans toute son horreur. Les êtres humains ne sont pas faits pour supporter une souffrance pareille, alors c'est là qu'intervient la déni.
Juste un regard -
Harlan Coben
Or, le même mystère qui dérobe souvent aux yeux la cause des catastrophes, quand il s'agit de l'amour, entoure tout aussi fréquemment la soudaineté de certaines solutions heureuses. Solutions heureuses ou du moins qui paraissent l'être, car il n'y en a guère qui le soient réellement quand il s'agit d'un sentiment d'une telle sorte que toute satisfaction qu'on lui donne ne fait généralement que déplacer la douleur. Parfois pourtant une trêve est accordée et l'on a pendant quelque temps l'illusion d'être guéri.
A l'ombre des jeunes filles en fleurs -
Marcel Proust
Accepter la volonté de Dieu est le remède de toutes les maladies du cœur.
Proverbes et sentences -
Hazrat Ali-ul-Murtaza
Aider le fou, c'est oppresser le juste.
Proverbes et sentences -
Hazrat Ali-ul-Murtaza
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