Une citation de Henri Frédéric Amiel
proposée le vendredi 29 juillet 2011 à 10:20:06Henri Frédéric Amiel - Ses citations
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On comprend les femmes comme la langue des oiseaux, d’instinct ou pas du tout.
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Je l'ai toujours dit ; les poètes célibataires sont une peste publique ; ils troublent, sans le savoir et le vouloir, tous les cœurs féminins sans emploi.
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Henri Frédéric Amiel
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