Une citation de Gilbert Keith Chesterton
proposée le vendredi 16 septembre 2011 à 18:50:50Gilbert Keith Chesterton - Ses citations
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Ce qui désespère ? Les séparations. Être déraciner d’un être et observer, tels des nerfs arrachés, les fils qui le liaient à soi, tout sanguinolents, tout bruissant encore des mots d’amour envolés. Et se faire à l’idée que tout est dit, ou plutôt que plus aucun mot ne pourra être prononcé. Être éloigné de quelqu'un, c’est être extrait d’un monde, d’un univers qui contient une partie de soi, de sa mémoire et de sa chair. C’est se quitter un peu soi-même. C’est un voyage à l’envers où l’on ne peut plus attendre l’autre. Pour Léna, ne plus voir Vlad, c’est l’envers de l’espoir, c’est comme arrêter de respirer. C’est l’envers de la vie. L’envers des jours.
« D’où vient Angéla Küber ? » - Page 72 - Edition Ravet Anceau - Avril 2009 -
Bruno Descamps
Est-ce que nous ne sommes tous que poussière ? Que c'est beau la poussière, pourtant.
Notebooks, éd. Sheed & Ward, 1943, p. 59 -
Gilbert Keith Chesterton,
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