Une citation de Boris Vian
proposée le vendredi 30 septembre 2011 à 23:40:45Boris Vian - Ses citations
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Un de plus, un sans raison, mais puisque les autres se posent les questions des autres et leur répondent avec les mots des autres, que faire d'autre que d'écrire, comme les autres, et d'hésiter, de répéter et de chercher, de rechercher, de pas trouver, de s'emmerder et de dire ça sert à rien.
Je voudrais pas crever, 10/18, 1972, p.27. -
Boris Vian
Prenez un bleu à ses diverses nuances, de la plus foncée à la plus claire, ce sera toujours du bleu, alors que le jaune noircit dans les ombres et s’éteint dans les clairs, que le rouge foncé devient brun et que, dilué dans le blanc, ce n’est plus du rouge, mais une autre couleur : le rose.
cité dans Paul Eluard, Anthologie des écrits sur l’art (Paris : Editions du Cercle d’Art, 1972), 183 et dans Charlet, Bleu, 48. -
Raoul Dufy
La question ne se pose pas, il y a trop de vent.
Inédit Editions du Désatre 21 rue Visconti Paris -
Boris Vian
Le pluriel d'un maréchal, c'est des maraîchers, le pluriel d'un général, c'est des générés.
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Boris Vian
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