Une citation de Lorette Nobécourt
proposée le samedi 08 octobre 2011 à 11:32:47Lorette Nobécourt - Ses citations
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J'aurais vu gonfler mon ventre, se hisser à mes flancs cette voile opulente de la maternité, oh ce grand voyage, je l'aurais accompli du départ jusqu'à son terme, et j'aurais connu la joie d'être, à l'hôpital, au milieu des jeunes accouchées, au milieu de ce banc de baleines si prodigieusement dévastées par la magnificence de leur don.
En nous la vie des morts -
Lorette Nobécourt
On commence à comprendre que, s'il peut y avoir de la force dans une chaudière, il ne peut y avoir de puissance que dans un cerveau ; en d'autres termes, que ce qui mène et entraîne le monde, ce ne sont pas les locomotives, ce sont les idées. Attelez les locomotives aux idées, c'est bien ; mais ne prenez pas le cheval pour le cavalier.
Les misérables -
Victor Hugo
Les riches n'ont pas besoin de tuer eux-mêmes pour bouffer. Ils les font travailler les gens comme ils disent. Ils ne font pas le mal eux-mêmes, les riches. Ils payent. On fait tout pour leur plaire et tout le monde est bien content. Pendant que leurs femmes sont belles, celles des pauvres sont vilaines. C'est un résultat qui vient des siècles, toilettes mises à part. Belles mignonnes, bien nourries, bien lavées.
Voyage au bout de la nuit -
Céline
La part de comédie qui entre dans l'amour est pour le cœur comme les parfums, les fards et les parures pour le corps.
Amours, amour -
Maurice Chapelan
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