Une citation de Jacques Chardonne
proposée le dimanche 09 octobre 2011 à 10:44:10Jacques Chardonne - Ses citations
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Je voulais retourner au Mali. Là-bas, il y a la faim mais ici, en plus de la faim il y a le froid, le froid des gens et du climat. Je n'ai jamais vu autant de statues animées cacher leur chagrin et leurs sentiments sous la neige et dans les caniveaux. Il faudrait détartrer leurs poumons qui dégagent l'air de l'indifférence parce qu'ici, on ressent de l'amour pollué. Quand il n'y a plus de cœur dans le corps d'une terre, il faut en trouver un autre. Il y a plein d'hôpitaux, mais pas assez de tendresse.
L'arbre d'ébène -
Fadéla Hebbadj
Nous localisons dans le corps d'une personne toutes les possibilités de sa vie, le souvenir des êtres qu'elle connaît et qu'elle vient de quitter, ou s'en va rejoindre.
Du côté de Guermantes -
Marcel Proust
Un regard un peu tendre intéresse tout de suite. On croit s'aimer dès que les mains se touchent. Nous sommes tous faciles à prendre.
L'Épithalame -
Jacques Chardonne
L'homme vit dans la mesure où l'esprit est délié, capable de rapports assez délicats, dans l'amitié, dans l'amour, dans les échanges, et, donc, dans la conversation.
Ce que je voulais vous dire aujourd'hui -
Jacques Chardonne
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