Une citation de Stefan Zweig
proposée le dimanche 09 octobre 2011 à 22:11:16Stefan Zweig - Ses citations
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Les monomaniaques de tout poil, les gens qui sont possédés par une seule idée m'ont toujours spécialement intrigué, car plus un esprit se limite, plus il touche par ailleurs à l'infini.
Le joueur d'échecs - Poche - page 20. -
Stefan Zweig
Pour ma part, je trouvais plus honnête qu'une femme suivît librement et passionnément son instinct, au lieu, comme c'est généralement le cas, de tromper son mari dans ses propres bras, les yeux fermés.
Vingt-quatre heures dans la vie d'une femme -
Stefan Zweig
Je ne parle jamais pendant la musique, du moins pendant la bonne musique. Si l’on en entend de mauvaise, c’est un devoir de la couvrir par le bruit d’une conversation.
Le Portrait de Dorian Gray- Chapitre IV -
Oscar Wilde
Vieillir n'est, au fond, pas autre chose que n'avoir plus peur de son passé.
Vingt-quatre heures de la vie d'une femme -
Stefan Zweig
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