Une citation de Jean-Philippe Blondel
proposée le mardi 17 avril 2012 à 09:59:52Jean-Philippe Blondel - Ses citations
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Je croyais noter les rêves que je faisais, je me suis rendu compte que, très vite, je ne rêvais plus que pour écrire mes rêves. De ces rêves trop rêvés, trop relus, trop écrits, que pouvais-je désormais attendre, sinon de les faire devenir textes, gerbe de textes déposée en offrande aux portes de cette voie royale qu'il me reste à parcourir - les yeux ouverts ?
La boutique obscure, Denoël, 1974. -
Georges Perec
ça doit être quelque chose dans ce genre là, l'amitié - accepter que l'autre s'égare sur des chemins loin de vous et accepter qu'il en revienne, sans rancoeur.
Passage du gué -
Jean-Philippe Blondel
Elle savait que les choix, de toute façon, ne sont que des illusions que l'on se façonne pour prétendre être libre.
Et rester vivant -
Jean-Philippe Blondel
C'est de ça que j'ai envie. D'une affirmation de l'existence. De m'installer dans la permanence. De prendre ma place dans la bataille fragile et pitoyable des êtres humains qui posent des fondations et montent des édifices en sachant pertinament qu'un jour ou l'autre, tout disparaîtra.
Et rester vivant -
Jean-Philippe Blondel
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