Une citation de Charles Dollfus
proposée le mercredi 25 avril 2012 à 12:06:06Charles Dollfus - Ses citations
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J'aime errer sur la grève délaissée par la marée et suivre aux contours d'une côte abrupte l'itinéraire qu'elle impose, en ramassant des cailloux percés, des coquillages dont l'usure a réformé la géométrie, ou des racines de roseau figurant des chimères, et me faire un musée de tous ces débris : pour un bref instant, il ne le cède en rien à ceux où l'on a assemblé des chefs-d'oeuvre ; ces derniers proviennent d'ailleurs d'un travail qui - pour avoir son siège dans l'esprit et non au-dehors - n'est peut-être pas fondamentalement différent de celui à quoi la nature se complaît.
Tristes tropiques -
Claude Lévi-Strauss
Si j'avais plus de raison, j'aurais moins d'amour. Je t'accorde que l'amour est une folie ; mais c'est une folie sublime.
le Calvaire -
Charles Dollfus
Plus on aime, plus on vit. Celui qui jamais n'a aimé ne sait pas où est le véritable foyer de toute existence.
le Calvaire -
Charles Dollfus
L'amour est la véritable communauté. — Aimer, c'est s'enrichir. Qu'il est pauvre celui que personne n'aime ; qu'il est pauvre aussi celui qui n'aime que lui !.
le Calvaire -
Charles Dollfus
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