Une citation de Charles Dollfus
proposée le mercredi 25 avril 2012 à 12:51:53Charles Dollfus - Ses citations
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Dernières rencontres... Ce sont les médecins qui veulent bien essayer de me soigner. J'ai beaucoup d'admiration pour eux, car cela doit être difficile de s'occuper d'une patiente, de s'y attacher, tout en sachant pertinemment qu'il n'y a pas de chances, pas de remèdes miracles, juste un traitement qui rend fatalement malade celle qu'on soigne. Étrange maladie que le cancer...
Une femme -
Alice Parizeau
Vis toujours de bonne intelligence avec ton cuisinier, Avec les poètes, les médecins, et les magiciens, Avec celui qui gouverne ton pays, avec les riches et les obstinés.
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Proverbes Indiens
J'ai également pris une ferme décision pour le mot hôpital. Ce mot est exclu de nos discussions : nous parlons désormais d' unités pourvoyeuses. Car leur seul but, dans le futur, sera de pourvoir à des services qui leur seront achetés par les autorités et par les médecins en vertu de contrats négociés. L'hôpital devient un magasin, les soins deviennent une marchandise, tout fonctionne selon les règles des affaires : produire beaucoup, vendre bon marché. La magnifique simplicité de cette idée m'émerveille.
Testament à l'Anglaise -
Jonathan Coe
Les flatteurs trouvent leur compte auprès des grands, comme les médecins auprès des malades imaginaires ; ceux-ci payent pour les maux qu'ils n'ont pas, et les autres pour des vertus qu'ils devraient avoir.
Pensées diverses -
Étienne Coenilhé
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