Une citation de Glattauer
proposée le dimanche 17 juin 2012 à 10:52:37Glattauer - Ses citations
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Je sais que la poésie est indispensable, mais je ne sais pas à quoi.
Réception de M. Jean Cocteau M. Jean Cocteau, ayant été élu par l’Académie française à la place laissée vacante par la mort de M. Jérôme THARAUD, y est venu prendre séance le jeudi 20 octobre 1955, et a prononcé le discours -
Jean Cocteau
Mourir est un travail. Comme naître le fut. Les sages-femmes emploient ce mot travail à propos de l'accouchement. Donner la vie. Recevoir la vie. Rendre la vie. Je ne sais pas à qui. Mai c'est sûr, la rendre à la terre, l'abandonner dans sa peau, renoncer au mouvement d'un corps vigoureux, concentrer tout son être dans l'esprit : tout ce que l'on éprouve de soi devient pensée. Oui, substituer de la pensée à du mouvement, de la puissance mentale à de la force physique. Et peut-être alors prendre son envol dans la bulle irisée de son propre esprit, éternel et universel, souverain et inaltérable.
les autres -
Alice Ferney
Je ne sais pas encore que je viens de rencontrer l'amour. Le seul, le vrai, l'incendiaire. Celui qui vous donne tout avant de tout vous reprendre. Celui qui illumine une vie avant de la dévaster pour toujours.
7 ans après de Guillaume Musso -
Guillaume Musso
Ecrire, c'est comme embrasser, mais sans les lèvres. Ecrire, c'est embrasser avec l'esprit.
Quand souffle le vent du nord -
Daniel Glattauer
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