Une citation de Jean-Claude Izzo
proposée le samedi 30 juin 2012 à 19:38:51Jean-Claude Izzo - Ses citations
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C'est con les villes qu'on traverse et dans lesquelles on ne peut rester plus d'un jour : on n'a pas le temps de comprendre. J'aime bien avoir le temps. Quand on est tributaire du temps des "autres" on est dépossédé de "son temps". Ce qu'il faut gagner à tout prix, avant de créer, c'est la liberté du rythme de vie dont notre personnalité, notre caractère ont besoin pour penser et agir.
Lettres d'Amour d'un soldat de vingt ans, Grasset éd. 1987, p. 52. -
Jacques Higelin
Quand je t'aimais, pour toi j'aurais donné ma vie, - Mais c'est toi, de t'aimer, toi qui m'ôtas l'envie. - A tes pièges d'un jour on ne prendra plus ; - Tes ris sont maintenant et tes pleurs superflus.
A Madame X -
Alfred de Musset
Ce qu'on a sur le cœur, parfois ça s'entend mieux que ce qu'on dit avec la langue.
Solea -
Jean-Claude Izzo
Un jour, on ne peut plus dire à l'autre qu'il est beau, parce que l'amour a foutu le camp et que l'on n'est plus désirable. On peut alors enfiler sa plus belle chemise, couper ses cheveux, laisser pousser sa moustache, rien n'y changera. On n'aura droit qu'à un « ça te va bien », et non plus au « tu es beau » tant espéré, et prometteur de plaisir et de draps froissés.
Solea -
Jean-Claude Izzo
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