Une citation de Jean Giono
proposée le lundi 06 août 2012 à 20:27:45Jean Giono - Ses citations
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Les mots ne suffirent plus. A force de tout se passer en mots, le plaisir restait en suspens, on s’énervait à attendre l’essentiel. Il fallait aller plus loin. Quel bonheur de s’approcher coûte que coûte de ce paroxysme !”
Le Moulin de Pologne, Gallimard. -
Jean Giono
La chaleur pétillait sur les tuiles. Le soleil n’avait plus de corps ; il était frotté comme une craie aveuglante sur tout le ciel ; les collines étaient tellement blanches qu’il n’y avait plus d’horizon.
Le hussard sur le toît, Gallimard, Collection Folio n°240, 1985, p158. -
Jean Giono
Dans la vie courante (qui est la nôtre) il n’y a vraiment jamais de quoi rire à ventre déboutonné, notre corps n’en a pas l’habitude (tandis que ricaner, on sait le faire).
Le Moulin de Pologne'', Gallimard, Collection ''Folio'' n°274, 1983, p.110. -
Jean Giono
Je n'avais jamais vu un aussi bel homme. Il était seul et la solitude fait beaucoup pour la beauté.
Tout le monde est occupé Mercure de France, 1999, p.47 -
Christian Bobin
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