Une citation de William Shakespeare
proposée le vendredi 10 août 2012 à 22:24:47William Shakespeare - Ses citations
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Eh oui, monsieur, mais "le temps que l'herbe pousse"... C'est un vieux proverbe un peu moisi.
Hamlet -Gallimard, Collection Folio n°1069, 1978, p.128. -
William Shakespeare
Ni la tour de pierre, ni les murailles de bronze, ni le cachot privé d'air, ni les liens de fer massif, ne peuvent assujettir la liberté de l'ame. l'ame, dès qu'elle est fatiguée des entraves de ce monde, ne manque jamais de pouvoir pour s'élargir elle-même. voilà ce que je sais ; et dès-lors, que tout l'univers sache aussi, que je puis à mon gré secouer de moi la part du joug que je porte.
Jules César, I, 7, trad. Le Tourneur, 1776. -
William Shakespeare
Là où se loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais.
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William Shakespeare
Je sais que l'amour est comme les barrages : si vous laissez une fissure par où puisse s'infiltrer un filet d'eau, peu à peu celui-ci ronge les murs, et il arrive un moment où personne ne peut plus contrôler la force du courant. Si les murs s'effondrent, l'amour s'empare en maître de tout ; il n'y a plus à se demander ce qui est possible et ce qui ne l'est pas, si l'on peut ou non garder à son côté l'être aimé. .. Aimer, c'est perdre le contrôle.
Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré -
Paulo Coehlo
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