Une citation de Jean-Paul Hameury
proposée le samedi 25 août 2012 à 09:45:27Jean-Paul Hameury - Ses citations
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Le christianisme a beaucoup fait pour l'amour en en faisant un péché. Il exclut la femme du sacerdoce. Il la redoute. Il montre combien elle est dangereuse. Il répète avec l'Ecclésiaste : Les bras de la femme sont semblables aux filets des chasseurs : Il nous avertit de ne point mettre notre espoir en elle : Ne vous appuyez point sur un roseau qu'agite le vent, et n'y mettez pas votre confiance, car toute chair est comme l'herbe, et sa gloire passe comme la fleur des champs. Il craint les ruses de celle qui perdit le genre humain : Toute malice est petite, comparée a la malice de la femme. Mais, par la crainte qu'il en fait paraitre, il la rend puissante et redoutable.
Le Jardin d’Épicure -
Anatole France
Puisses-tu être aussi oublieux de toi-même que tous ceux qui ne se souviennent ni de ton visage ni de ton nom, qui vivent comme si tu n'avais jamais existé.
Fragments, éd. Atelier de la Feugraie -
Jean-Paul Hameury
Vouloir être quelqu'un retranche, et se paie au prix fort : sentiment d'exil, solitude, peur de la mort.
Fragments, éd. Atelier de la Feugraie -
Jean-Paul Hameury
Des actes d'aujourd'hui, il y a longtemps que les graines ont été semées.
Fragments, éd. Atelier de la Feugraie -
Jean-Paul Hameury
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