Une citation de Alexandre Weill
proposée le vendredi 14 septembre 2012 à 16:11:15Alexandre Weill - Ses citations
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Il ne suffit pas qu'on sarcle les mauvaises herbes dans un champ. Pour faire venir le blé, il faut encore de la pluie, du soleil, mais il suffit qu'on ne les arrache pas pour que, malgré le soleil et la pluie, elles étouffent le bon grain.
Si j'avais une fille a marier -
Alexandre Weill
L'excès de l'ordre est le despotisme. L'excès de la liberté est l'anarchie. Or, l'anarchie, qui est le chaos, est le plus méprisable des maux, car elle repose sut la faiblesse et la lâcheté. Le despotisme, au contraire, même comme mal, est moins odieux, car il repose sur la force. C'est par cette même raison que les vices des femmes sont plus répréhensibles que ceux des hommes. Les premiers prouvent de la faiblesse, les autres témoignent toujours d'une certaine force.
Questions brûlantes -
Alexandre Weill
Seules les révolutions n'ont rien inventé. C'est toujours la même chanson. La première révolution a débuté par un exil. C'est Adam chassé du paradis. .
Questions brûlantes -
Alexandre Weill
Depuis cinquante ans, la France ressemble à une jeune fille belle, grande, pure et forte, qui met du rouge et du blanc, qui tour à tour se poudre à l'anglaise, se parfume à la grecque, qui, en un mot, se donne toutes les peines du monde pour plaire moins, on, ce qui pis est, pour déplaire. Il lui serait si facile cependant de plaire ! Elle n'aurait qu'à paraitre comme elle est ; elle n'aurait qu'à porter l'habit de sa taille !.
Questions brûlantes -
Alexandre Weill
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