Une citation de Georges Bernanos
proposée le samedi 29 septembre 2012 à 10:01:00Georges Bernanos - Ses citations
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Sous l’empire, comme à toutes les époques où les nations sont des abattoirs, la littérature était étrange : des troppemaneries emplissaient les livres : il y avait des cadavres derrière chaque feuillet, comme si en écrivant on eût regardé chez Napoléon III ? Tout sentait fade, des mouches de charnier volaient sur les livres.
Mémoires - Eds Sulliver p. 77. -
Louise Michel
La beauté, seule chose qu’on ne puisse acquérir, inaccessible à tout jamais à ceux qui ne l’ont pas d’abord ; fleur éphémère et fragile qui croit sans être semée, pur don du ciel ! — ô beauté ! le plus radieux diadème dont le hasard puisse couronner un front, — tu es admirable et précieuse comme tout ce qui est hors de la portée de l’homme, comme l’azur du firmament, comme l’or de l’étoile, comme le parfum du lis séraphique !.
Mademoiselle de Maupin -
Théophile Gautier
La religion juive, comme toutes les autres religions est l’incarnation des superstitions les plus enfantines.
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Albert Einstein
Mais comme toutes les femmes ne sont pas assises sur un trône, elles se vouent, la plupart, à des malheurs domestiques qui, pour être obscurs, n’en sont pas moins terribles.
La Femme de trente ans -
Honoré de Balzac
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