Une citation de Douglas Kennedy
proposée le mercredi 03 octobre 2012 à 21:24:18Douglas Kennedy - Ses citations
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Je m'étais refermée sur mon secret, si secret que j'avais presque réussi à l'oublier. Oublié quand il fallait trouver les mots pour le formuler, mais pas oublié l'empreinte qu'il avait laissée. Il y a des faits qu'on ne peut jamais raconter, pas seulement parce qu'ils sont terribles, non, non, on finit toujours par s'habituer au pire, par s'endurcir, par vivre, à côté de ces choses horribles qu'on les soupçonne même parfois de n'avoir jamais existé tellement elles paraissent impossibles, mais parce que chaque fois qu'on les raconte, on les revit si fort qu'on est à nouveau écrasé de chagrin.
Embrassez-moi (2003) -
Katherine Pancol
Si les psys proclament qu’il est toujours préférable de « dire les choses », je crois que c’est un leurre. Parler revient seulement à formuler le mal qui vous ronge, non à l’expulser. Ce n’est pas comme de vomir un repas indigeste, une réaction naturelle qui vous laisse purgé, lavé et prêt à vous remettre à table. Tout ce que l’on peut penser, après s’être confié, c’est : « Voilà, je l’ai dit et… rien n’a changé. ».
Quitter le monde, Editions Belfond, p406 -
Douglas Kennedy
On finit toujours par devenir un personnage de sa propre histoire.
Ecrits, tome 2 -
Jacques Lacan
On finit toujours par ressembler à ce que les autres pensent de vous.
Encore une danse -
Katherine Pancol
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