Une citation de Sophie Swetchine
proposée le lundi 10 décembre 2012 à 15:20:27Sophie Swetchine - Ses citations
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Ce que j’appelais moi, c’était quelque chose comme des boîtes imbriquées l’une dans l’autre, avec sans cesse quelque chose de nouveau dans ce moi ; peut-être arriverais-je un jour à découvrir mon moi véritable, mais ce n’était pas le vrai Métine, celui que je pourrais faire découvrir à Djeylanne, qui surgissait de la boîte, non, c’était une nouvelle boîte qui le cachait à sa vue.
La maison du silence -
Orhan Pamuk
L'affection trop désintéressée n'est au fait qu'une très généreuse aumône : la véritable amitié veut bourse commune et tient autant à ses droits qu'à ses devoirs.
Lettres inédites de madame Swetchine, Bologne, 7 juin 1824, à Mlle Stéphanie de Virieu -
Anne Sophie Swetchine
Dans la saison qui dépouille la nature, il n'est pas de brise, de souffle si léger qui ne soient assez forts pour détacher la feuille de l'arbre qui la portait. Dans l'automne du cœur, il ne se fait pas un mouvement qu'il n'emporte un bonheur ou une espérance.
Airelles -
Sophie Swetchine
Montrer imprudemment ce qu'il y a de plus vulnérable dans notre sensibilité, c'est inviter à y frapper. Achille, le demi-dieu, n'avait mis personne dans sa confidence.
Airelles -
Sophie Swetchine
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