Une citation de Sophie Swetchine
proposée le lundi 10 décembre 2012 à 15:23:51Sophie Swetchine - Ses citations
Citations similaires
La philosophie, l'art et la religion existent parce que la mort oblige les hommes à inventer des parades pour ne pas avoir à succomber et à trembler d'effroi devant elle.
La Lueur des orages désirés. Journal hédoniste IV -
Michel Onfray
Et la grande ruse des femmes du Moyen-Age : elles ont poussé les hommes à inventer le style courtois, qui donne un aspect viril à la politesse et la rend applicable par les enfants vieillis qui portent le nom d’hommes.
Dictionnaire égoïste de la littérature française, Charles Dantzig, éd. Grasset, 2005, p. 221 -
Charles Dantzig
L'affection trop désintéressée n'est au fait qu'une très généreuse aumône : la véritable amitié veut bourse commune et tient autant à ses droits qu'à ses devoirs.
Lettres inédites de madame Swetchine, Bologne, 7 juin 1824, à Mlle Stéphanie de Virieu -
Anne Sophie Swetchine
Dans la saison qui dépouille la nature, il n'est pas de brise, de souffle si léger qui ne soient assez forts pour détacher la feuille de l'arbre qui la portait. Dans l'automne du cœur, il ne se fait pas un mouvement qu'il n'emporte un bonheur ou une espérance.
Airelles -
Sophie Swetchine
Contribuer