Une citation de Alphonse Toussenel
proposée le dimanche 10 février 2013 à 20:26:29Alphonse Toussenel - Ses citations
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La femme est la poésie, l'homme la prose.
Le monde des oiseaux, ornithologie passionnelle, Volume 1 - Page 107, 1853 -
Alphonse Toussenel
L'homme cherche la lumière, la femme porte en elle la chaleur.
Le monde des oiseaux, ornithologie passionnelle, Volume 1 - Page 107, 1853 -
Alphonse Toussenel
La femme baille et s'endort aux discussions subtiles sur l'infini, parce qu'elle n'a pas besoin qu'on lui. Démontre ce qu'elle sent. L'homme, à force d'apprendre, tombe dans le scepticisme ; la femme, qui est en communion plus intime avec la nature, ne perd Jamais l'idée de Dieu. C'est pour cela aussi que la femme n'éprouve jamais le besoin de se faire apôtre comme l'homme, quand elle croit à une vérité religieuse ; c'est pour cela qu'elle a plus de tolérance, et qu'elle n'a jamais songé comme l'homme à se déifier. Or, la déification de l'homme par l'homme est le nec plus ultrà des extravagances de l'esprit humain.
Le monde des oiseaux, ornithologie passionnelle, Volume 1 - Page 107, 1853 -
Alphonse Toussenel
Si les bétes à quatre pattes, les oiseaux et les fleurs sympathisent si volontiers avec la femme, et la respectent et l'écoutent avec plus d'intérêt que l'homme, c'est parce que la sympathie pour tout ce qui a vie est plus active chez la femme, qui porte en elle le germe de création et de vie, et à qui la nature révèle mystérieusement l'unité.
Le monde des oiseaux, ornithologie passionnelle, Volume 1 - Page 107, 1853 -
Alphonse Toussenel
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