Une citation de Franz-Olivier Giesbert
proposée le lundi 13 mai 2013 à 17:18:52Franz-Olivier Giesbert - Ses citations
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Les impôts sont une calamité pour les gens et un cauchemar pour le gouvernement. Pour les premiers, ils sont toujours excessifs, alors que pour les seconds, ils ne sont jamais suffisants.
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Ah moi, je donnerais toutes les pièces de Schmitt pour écrire un opéra de Mozart ! Ça, c’est clair. Mais voilà, je ne suis pas compositeur. Je trouve qu’ils ont une chance hallucinante, c’est-à-dire qu’ils ne sont jamais allés à Babel. Voilà. Ils écrivent dans une langue qui est compréhensible par tout le monde sur toute la terre partout, sans traduction. Et cette langue, en plus, est une langue directement émotive qui, tout de suite, vous affecte au plus profond de votre corps. Et puis c’est une langue qui vous touche dans votre corps, le rythme touche dans le corps, la mélodie touche dans la sensibilité, l’harmonie [...] voilà ! Donc, ce mode d’expression est hallucinant. Mais en même temps, il a ses limites. C’est ce qui me rassure, je me dis. C’est-à-dire que ce n’est pas réflexif. C’est-à-dire, heureusement, avec les mots, on a le pouvoir de toucher l’intelligence de l’autre.
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Eric-Emmanuel Schmitt
Les villes ne sont jamais que des ensembles plus ou moins réussis de tiroirs échafaudés les uns sur les autres.
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Évidemment, je ne me tiens pas pour modèle. Je me sens fait en dentelle et en plomb. Il ya en moi le monde et le ciel. La masse à dissoudre est énorme. Les bébés sont mes maîtres à penser, or ils ne sont jamais tristes.
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