Une citation de Léon Tolstoï
proposée le dimanche 11 août 2013 à 13:45:40Léon Tolstoï - Ses citations
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La poésie est une flèche tirée : si j'ai bien visé, ce qui compte - que je veux - n'est ni la flèche ni le but mais le moment où la flèche se perd, se dissout dans l'air de la nuit : jusqu'à la mémoire de la flèche est perdue.
Le coupable, p. 131 - cité par Gaston Puel dans Terre-Plein, éd. T. Bouchard, p. 71 -
Georges Bataille
Je serais délivrée de tous et de moi-même.
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Léon Tolstoï
Je n'oublierai jamais le moment ou, pour la première fois, j'ai senti et compris la tragédie de la colonisation. [. .. ] Depuis ce jour, j'ai honte de mon pays. Depuis ce jour, je ne peux pas rencontrer un Indochinois, un Algérien, un Marocain, sans avoir envie de lui demander pardon. Pardon pour toutes les douleurs, toutes les humiliations qu'on lui a fait souffrir, qu'on a fait souffrir à leur peuple. Car leur oppresseur, c'est l'Etat français, il le fait au nom de tous les Français, donc aussi, pour une petite part, en mon nom. C'est pourquoi, en présence de ceux que l'Etat français opprime, je ne peux pas ne pas rougir, je ne peux pas ne pas sentir que j'ai des fautes à racheter.
Qui est coupable des menées antifrançaises » (1938), dans Écrits historiques et politiques -
Simone Weil
Je l'ai déjà dit plusieurs fois : le patriotisme est de notre temps un sentiment artificiel et déraisonnable, source funeste de la plupart des maux qui désolent l'humanité ; aussi ne faut-il pas l'entretenir.
Les Rayons de l'aube. Tolstoï - -
Léon Tolstoï
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