Une citation de Maxime Gorki
proposée le lundi 12 août 2013 à 14:05:37Maxime Gorki - Ses citations
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Au surplus, les livres lui faisaient le même effet que les femmes - un nouvel ouvrage, c'était comme une vierge qu'on est le premier à toucher, tandis qu'un vieux livre correspondait à une femme à la beauté fanée sur qui d'autres ont déjà exercé des prérogatives conjugales. Du coup, la lecture perdait beaucoup de son intérêt, son attrait étant émoussé par le nombre de ceux qui avaient tenu le volume entre les mains.
Les Trois Portes de Han Han -
Han Han
L’écriture et la lecture sont des formes d’activité mentale que je crois profondément menacées. Cela, je m’en explique un peu partout. Le premier devoir d’un tyran et, dans notre monde, il y a toujours une tyrannie possible - c’est d’interdire au maximum la lecture parce qu’elle crée des esprits critiques individuels. Je pense à un beau texte de Voltaire parodiant un édit donné par la Sublime porte interdisant la lecture à tous les croyants. Interdire de lire, c’est interdire de penser.
L’esprit français -
Philippe Sollers
Un livre qu'on quitte sans en avoir extrait quelque chose est un livre qu'on n'a pas lu. J'ai insisté, tantôt, sur la nécessité de la lecture pour se créer une forme et un style. Le profit est le même pour le fond ; le même éveil se fera pour les idées.
L'art d'écrire: enseigné en vingt lecçons -
Antoine Albalat
La femme, c’est une force ; elle a trompé Dieu Lui-même, oui, parfaitement !C’est à cause d’Eve que tout le monde s’en va en enfer, oui, parfaitement !.
En gagnant mon pain - Maxime Gorki -
Maxime Gorki
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