Une citation de Stefan Zweig
proposée le mardi 10 septembre 2013 à 09:16:44Stefan Zweig - Ses citations
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Les monomaniaques de tout poil, les gens qui sont possédés par une seule idée m'ont toujours spécialement intrigué, car plus un esprit se limite, plus il touche par ailleurs à l'infini.
Le joueur d'échecs - Poche - page 20. -
Stefan Zweig
Pour ma part, je trouvais plus honnête qu'une femme suivît librement et passionnément son instinct, au lieu, comme c'est généralement le cas, de tromper son mari dans ses propres bras, les yeux fermés.
Vingt-quatre heures dans la vie d'une femme -
Stefan Zweig
Les fleurs se dessèchent, mais elles refleurissent... Cet aubour sera aussi florissant au mois de juin de l’année prochaine qu’il l’est à présent. Dans un mois, cette clématite portera des fleurs pourprées, et d’année en année, ses fleurs de pourpre illumineront le vert de ses feuilles... Mais nous, nous ne revivrons jamais notre jeunesse. Le pouls de la joie qui bat en nous à vingt ans, va s’affaiblissant, nos membres se fatiguent et s’alourdissent nos sens !... Tous, nous deviendrons d’odieux polichinelles, hantés par la mémoire de ce dont nous fûmes effrayés, par les exquises tentations que nous n’avons pas eu le courage de satisfaire... Jeunesse ! Jeunesse ! Rien n’est au monde que la jeunesse !...
Le Portrait de Dorian Gray- Chapitre II -
Oscar Wilde
Vieillir n'est, au fond, pas autre chose que n'avoir plus peur de son passé.
Vingt-quatre heures de la vie d'une femme -
Stefan Zweig
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