Une citation de Racine
proposée le vendredi 31 octobre 2008 à 22:55:17Racine - Ses citations
Citations similaires
Ariane, ma soeur, de quel amour blessée Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée.
Phèdre, Acte1,Scène3 -
Jean Racine
Qu'est-ce donc qu'un cercueil offre de si terrible ? Une froide poussière, une cendre insensible. Là nous ne trouvons plus ni plaisir ni douleur. Un repos éternel est-il donc un malheur ?
Chant II - Septième et dernier enfant de Jean Racine, Louis est l'auteur de Mémoires sur son père et d'un grand poème en six chants : La Religion -
Louis Racine
Il ne s'agit pas du nombre de kilos de viande que l'on mange, ni du nombre de fois par an où une personne peut aller à la plage, ni du nombre de jolies choses importées qui peuvent être achetées avec les salaires actuels. Ce dont il s'agit, c'est que l'individu se sente plus complet, beaucoup plus riche de richesse intérieure et de responsabilité.
Le Socialisme et l'Homme à Cuba - 12 mars 1965 -
Ernesto Guevara, dit Che Guevara
Donnez-moi tous les noms destinés aux parjures : Je crains votre silence, et non pas vos injures Et mon coeur, soulevant mille secrets témoins, M’en dira d’autant plus que vous m’en direz moins.
Andromaque - Acte IV -
Jean Racine
Contribuer