Une citation de José Maria de Heredia
proposée le jeudi 17 octobre 2013 à 20:32:40José Maria de Heredia - Ses citations
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Je t'aime peut-être en égoïste ? Je mettrai peut-être sur ta chère tête un fardeau plus pesant que ma tendresse ne sera douce à ton cœur. S'il existe en moi quelque puissance inexorable à laquelle j'obéis, si je dois maudire quand tu joindras les mains pour prier, si quelque triste pensée me domine lorsque je voudrai me mettre à tes pieds pour jouer avec toi comme un enfant, ne seras-tu pas jalouse de cet exigeant et fantasque génie ? Comprends-tu bien, cœur à moi, que j'ai peur de n'être pas tout à toi, que j'abdiquerais volontiers tous les sceptres, toutes les palmes du monde, pour faire de toi mon éternelle pensée ; pour voir, dans notre délicieux amour, une belle vie et un beau poème ; pour y jeter mon âme, y engloutir mes forces, et demander à chaque heure les joies qu'elle nous doit ? Mais voilà que reviennent en foule mes souvenirs d'amour, les nuages de ma tristesse vont se dissiper.
Louis Lambert -
Balzac
Il écoutait en lui pleurer obstinément, Titan que son désir enchaîne aux plus hauts faîtes, La Patrie et l'Amour, la Gloire et leurs défaites ; Il songeait que tout meurt et que le rêve ment.
Les trophées : Michel-Ange -
José Maria de Heredia
Le bonheur est mélancolique. - Le cri des plus joyeux oiseaux - Paraît lointain comme de l’eau - Où se noierait une musique.
Les trophées -
José Maria de Heredia
Ah ! quels beaux jours pour moi que ces jours de jeunesse ! que j’aime à me les rappeler quelles joies ! quels succès ! quels amours ! et autour de moi quels gens, quels esprits ! Comme on se hâtait de vivre !.
Les mémoires d'une aveugle : Chapitre Chapitre IX -
Alexandre Dumas
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