Une citation de Katherine Pancol
proposée le jeudi 17 avril 2014 à 20:00:53Katherine Pancol - Ses citations
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Tout a commencé pour moi par le métro. [. .. ] Je voyais sortir de terre, tout enfant, le métro qui allait devenir aérien. Je me suis dit mais qu’est ce qui se passe ? Il y a donc une ville sous la ville, il y a une ville à hauteur du sol et puis il y a une ville dans le ciel. Qu’est ce que c’est donc que cet énorme corps qu’est une ville ?.
Discours d’Erik Orsenna, de l’Académie Française, lors de la rencontre avec Bertrand Delanoë du 19 décembre 2007 Salle Olympe de Gouges -
Erik Orsenna
Je vois tout, je sens tout, mille détails entrent en moi comme de longues échardes et m'écorchent vive. Mille détails que d'autres ne remarquent pas parce qu'ils ont des peaux de crocodile.
Les Yeux jaunes des crocodiles -
Katherine Pancol
Quand on a peur, il faut toujours regarder sa peur en face et lui donner un nom. Sinon, elle vous écrase et vous emporte comme une vague scélérate.
Les Yeux jaunes des crocodiles -
Katherine Pancol
C'est mon homme, c'est ma pâte à aimer, ma pâte à rire, ma pâte à pétrir, ma pâte à souffrir, je sais tout de lui, je peux le raconter en fermant les yeux, je peux dire ses mots avant même qu'il ne les prononce, je peux lire dans sa tête, dans ses petits yeux malins. Je le raconterais les yeux fermés cet homme là.
Les yeux jaunes des crocodiles -
Katherine Pancol
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