Une citation de Douglas Kennedy
proposée le lundi 28 avril 2014 à 18:49:11Douglas Kennedy - Ses citations
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Le principe, c’est que chaque jour étant nouveau on ne peut pas s’y préparer à l’avance. Quand j’arrive à l’adolescence, à l’âge adulte, à n’importe quelle période de ma vie, j’y arrive pour la première fois. Alors forcément, je commets des erreurs, c’est inévitable. Il faudrait une première vie pour apprendre, puis revenir pour profiter pleinement d’une existence réfléchie. Sinon, je ne vois pas l’intérêt d’une telle mascarade.
Journal d’un naufragé, 2008 -
Mikhaïl W. Ramseier
Si les psys proclament qu’il est toujours préférable de « dire les choses », je crois que c’est un leurre. Parler revient seulement à formuler le mal qui vous ronge, non à l’expulser. Ce n’est pas comme de vomir un repas indigeste, une réaction naturelle qui vous laisse purgé, lavé et prêt à vous remettre à table. Tout ce que l’on peut penser, après s’être confié, c’est : « Voilà, je l’ai dit et… rien n’a changé. ».
Quitter le monde, Editions Belfond, p406 -
Douglas Kennedy
La gloire est une maîtresse jalouse. Ou bien elle exige de tenir la place de toutes les maîtresses possibles, ou bien elle en suscite par douzaines.
La fête noire -
Jacques Audiberti
J'ai souvent pensé qu'on ne devient réellement adulte qu'au moment où l'on pardonne à ses parents d'être aussi imparfaits que le reste des humains et où l'on reconnaît que, avec leurs limites, ils ont fait de leur mieux pour vous. Mais enfin, aimer ses géniteurs ne signifie pas que l'on reprenne à son compte leur conception de la vie.
La poursuite du bonheur, Editions Belfond, 2001, page 93 -
Douglas Kennedy
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