Une citation de Mo Hayder
proposée le jeudi 31 juillet 2014 à 08:05:02Mo Hayder - Ses citations
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Je crois que nous ne nous entendons pas sur l'article du peuple, que vous croyez digne d'être instruit. J'entends par peuple la populace, qui n'a que ses bras pour vivre. Je doute que cet ordre de citoyens ait jamais le temps ni la capacité de s'instruire ; ils mourraient de faim avant de devenir philosophes. Il me paraît essentiel qu'il y ait des gueux ignorants. Si vous faisiez valoir comme moi une terre, et si vous aviez des charrues, vous seriez bien de mon avis. Ce n'est pas le manœuvre qu'il faut instruire, c'est le bon bourgeois, c'est l'habitant des villes ; [. .. ] Quand la populace se mêle de raisonner, tout est perdu.
Lettre à M. Damillaville 1er avril 1766 -
Voltaire
Il y a longtemps que j'aurais pris la liberté de vous aimer, si vous aviez le loisir d'être aimée de moi : mais vous êtes occupée par je ne sais combien d'autres soupirants. J'ai jugé à propos de vous garder mon amour : il pourra arriver quelque teins plus favorable, où je le placerai.
De l'art d'écrire -
Etienne Bonnot de Condillac
Tu l'aimes comme si vous aviez la vie devant vous. .. Ce n'est pas comme ça qu'il faut aimer.
Seras-Tu la ? -
Guillaume Musso
Certains hommes ne sont absolument pas doués pour voir la vérité. Si vous saviez en revanche, comme leurs mensonges respirent la sincérité !.
Nouvelles pensées échevelées -
Stanislaw Jerzy Lec
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