Une citation de Lydie Salvayre
proposée le mercredi 05 novembre 2014 à 13:20:17Lydie Salvayre - Ses citations
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Avez-vous déjà remarqué comment les petits enfants pleurent parfois comme si on leur avait brisé le coeur, mais quelques minutes après, c'est fini, oublié, à croire qu'il ne s'est rien passé. Mais les adultes. .. ah, nous, les adultes, quand nos coeurs se brisent vraiment, c'est tout juste si nous osons pleurer. Mais nous n'oublions jamais.
L'infirmière -
Henry Denker
Les vieux, ils le voient bien, ce temps qui passe, qui emporte les amis, éloigne les petits-enfants, et fait des tours avec les souvenirs. Et les jeunes, eux, ils ne savent rien du temps, invincibles, pressés et injoignables.
L'avant dernière chance -
Caroline Vermalle
Je ne suis pas raciste, mais il faut bien voir les choses en face : les enfants ne sont pas des gens comme nous. Attention. Il n’y a dans mes propos aucun mépris pour les petits enfants. Seulement, bon, ils ont leurs us et coutumes bien à eux. Ils ne s’habillent pas comme nous. Ils n’ont pas les mêmes échelles de valeurs. Ils n’aiment pas tellement le travail. Ils rient pour un oui et pour un non.
Fonds de tiroir -
Desproges
Mahomet nous apparaît comme un homme doux, sensible, fidèle, exempt de haine. Ses affections étaient sincères ; son caractère, en général, porté à la bienveillance. Lorsqu'on lui serrait la main en l'abordant, il répondait cordialement à cette étreinte, et jamais il ne retirait la main le premier. Il saluait les petits enfants et montrait une grande tendresse de cœur pour les femmes et les faibles. Le paradis, disait-il, est au pied des mères. Ni les pensées d'ambition, ni l'exaltation religieuse n'avaient desséché en lui le germe des sentiments individuels.
Études d'histoire religieuse, Ernest Renan, éd. Michel Lévy frères, 1858, p. 248 -
Ernest Renan
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