Une citation de Jonathan Coe
proposée le jeudi 06 novembre 2014 à 11:36:14Jonathan Coe - Ses citations
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Nul homme ne peut tracer la frontière entre nécessaire et superflu.
Le sable et l'écume -
Khalil Gibran
Si vous vous asseyiez sur un nuage, vous ne verriez pas la frontière entre un pays et un autre. Il est bien regrettable que vous ne puissiez vous asseoir sur un nuage.
Le sable et l'écume -
Khalil Gibran
Il y a des tas de types comme lui à l'université. Des types qui n'en font plus partie, mais qui l'aiment trop pour pouvoir la quitter. Encore que aimer ne soit pas le mot qui convienne. .. c'est trop positif. .. parce que, en réalité, quelqu'un qui aime l'université à ce point déteste la vie en général.
Une touche d'amour -
Jonathan Coe
J'ai également pris une ferme décision pour le mot hôpital. Ce mot est exclu de nos discussions : nous parlons désormais d' unités pourvoyeuses. Car leur seul but, dans le futur, sera de pourvoir à des services qui leur seront achetés par les autorités et par les médecins en vertu de contrats négociés. L'hôpital devient un magasin, les soins deviennent une marchandise, tout fonctionne selon les règles des affaires : produire beaucoup, vendre bon marché. La magnifique simplicité de cette idée m'émerveille.
Testament à l'Anglaise -
Jonathan Coe
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