Une citation de Frédérique Martin
proposée le vendredi 27 février 2015 à 22:57:57Frédérique Martin - Ses citations
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Que l'on ait quinze ans, vingt ans, quarante ans, soixante-quinze ans, c'était toujours la même histoire : cette putain de maladie d'amour qui dévastait tout sur son passage, ces moments de bonheur si fugaces qui exigeaient un prix exorbitant à payer.
Que serais-je sans toi ? de Guillaume Musso -
Guillaume Musso
Croire que la vie insiste, insister pour la vivre, et tenir inlassablement ses mains ouvertes sur ceux qui nous ont précédés comme sur ceux qui nous viennent. Se répéter qu’il y a tout à craindre des gens et des jours, des jours et des gens, sauf quand on les aime.
Sauf quand on les aime de Frédérique Martin -
Frédérique Martin
Les fantômes, ce n'est que ça, des souvenirs qui persistent.
Le vase où meurt cette verveine -
Frédérique Martin
Parce que la peur, je vais te dire, elle mène le bal sitôt qu'on l'y invite.
Le vase où meurt cette verveine -
Frédérique Martin
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