Une citation de Louise Michel
proposée le samedi 14 mars 2015 à 07:30:01Louise Michel - Ses citations
Citations similaires
Je n'ai pas le mal du pays, j'ai le mal des morts.
Mémoires - éditions Sulliver - page 35 -
Louise MICHEL
Sous l’empire, comme à toutes les époques où les nations sont des abattoirs, la littérature était étrange : des troppemaneries emplissaient les livres : il y avait des cadavres derrière chaque feuillet, comme si en écrivant on eût regardé chez Napoléon III ? Tout sentait fade, des mouches de charnier volaient sur les livres.
Mémoires - Eds Sulliver p. 77. -
Louise Michel
Toutes les religions du monde ont autorisé des forfaits innombrables. Les juifs, enivrés des promesses de leur Dieu, se sont arrogés le droit d'exterminer des nations entières. Fondés sur les oracles de leurs dieux, les Romains, en vrais brigands, ont conquis et ravagé le monde. Les Arabes, encouragés par leur divin prophète, ont porté le fer et la flamme chez les chrétiens et les idolâtres. Les chrétiens, sous prétextes d'étendre leur sainte religion, ont cent fois couvert de sang l'un et l'autre hémisphère.
Le bon sens -
Jean Meslier
Le philosophe qui court le monde pour s'instruire, doit s'accommoder de toutes les moeurs, de toutes les religions, de tous les temps, de tous les climats, de tous les lits, de toutes les nourritures, et laisser au voluptueux indolent de la capitale ses préjugés, son luxe... Ce luxe indécent qui, ne contentant jamais les besoins réels, en crée chaque jour de factices aux dépens de la fortune et de la santé.
Ernestine -
Sade
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